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La réduction de notre impact écologique est sans aucun doute un des plus grands enjeux du XXIe siècle. J’y suis particulièrement attentive, à la fois dans mon mode de vie et dans mon activité professionnelle.

Mes projets intègrent les principes de l’éco-design. Il s’agit d’adopter, dès les premières étapes de création d’un projet, une réflexion sur la portée écologique de chaque paramètres : choix des formats, des typographies, des couleurs, du nombre d’images, de la place du blanc, etc. Loin de me limiter, ces contraintes se révèlent le plus souvent fécondes.

Je suis en mesure de préconiser des matériaux labellisés, réutilisables ou recyclés et des procédés d’impression et encres à faible impact écologique pour la fabrication. 

Dans mon travail, mon empreinte carbone est réduite au minimum. Depuis quinze ans, je partage un atelier avec d’autres personnes en free-lance. Nous nous y rendons chacun à pied ou en vélo, nous mutualisons l’imprimante scanner et la cafetière à piston.
Hormis les indispensables sorties de contrôle pour les productions graphiques, je réduis au minimum les impressions papier. Je prends le train et les transports en commun pour mes déplacements professionnels. 

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